31 décembre 2012

Fin d'année à Cannes

Temps beaucoup plus frais mais très ensoleillé sur la Côte d'Azur pour les derniers jours de 2012 : l'occasion d'une petite sortie en solo sur Teles (Armelle a décliné l'invitation !), là où portera le vent...

La météo émet un BMS F7 sur les îles d'Hyères avec mistral dans le nez, et du force 2 de l'autre côté. 

Tout bien pesé, je préfère la balade tranquille, donc cap à l'est.



30 décembre : 

Sortie de la baie de Fréjus sous 1 ris. Le mistral se fait sentir jusqu'ici mais très vite le régime de vent va changer en passant est nord est 10 nœuds, puis mollissant progressivement. Je vais donc tirer des bords toute la journée au large de l'Esterel.
 
L'Île d'Or et le Drammont
 
Agay au pied de l'Esterel
 
Les Roches Rouges
 
La DuoGen en action
La Chrétienne
Le jour se termine quand je suis à hauteur de la Pointe de l'Esquillon. Le vent a faibli à moins de 5 nœuds et je termine au moteur pour une petite heure jusqu'à la plage de la Croisette.
 
 











Coucher de soleil frisquet...


Dans la nuit, un méga-paquebot croise ma route à l'approche de la rade. Le radar ne montre aucun autre bateau au mouillage, et le vent quasi-nul me facilite la tâche pour manœuvrer. Je jette l'ancre face aux grands hôtels, à côté de Port Canto. 

C'est le moment de vérifier que le chauffage est en ordre de marche. En quelques minutes, le carré s'emplit d'une douce chaleur, la radio diffuse de la bonne musique et il n'y a pratiquement pas de clapot face à la Croisette illuminée. Petits bonheurs pour cette avant-dernière nuit de 2012...

 

31 décembre :

En ouvrant le panneau de descente, l'air à 6° est glaçant, mais le spectacle vaut la peine : Cannes au soleil levant, façades éclatantes sur la rade encore endormie.
 
La Croisette s'éveille 











Le Carlton













 Le Martinez


Le Vieux Port
 
Il y a un bon vent de nord est, et je quitte la rade au portant sous un soleil fort bienvenu. Il n'y a presque personne sur l'eau.
 
  

Comme la veille, le vent faiblit progressivement mais reste toujours maniable. 

En profitant du courant porteur et en allant chercher un peu d'air au large, je maintiens une vitesse moyenne de 3 petits nœuds au largue - grand largue.



L'Esterel côté Boulouris
 
Saint Raphaël : la passe entre les Lions
 
Saint Raphaël : les ports de Santa Lucia
 
Le jour touche à sa fin quand j'arrive à moins de 2 nœuds en vue de Port-Fréjus.
 
 
   






Comme dirait Armelle : con-tent !    







2 commentaires:

  1. a priori, vous êtes passé du mono au cata; une raison pour cela ?

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    1. 3 raisons : aller vite (pour aller loin), à plat, et avec de l'espace. Voir les articles à partir de juin 2012.

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