Le Catana 48 a été choisi mais tout reste à faire : expertise, négociation, formalités antillaises. Armelle et Patrick me soutiennent dans cette difficile épreuve, tout en profitant des ressources terrestres de l'île.
Le propriétaire nous reçoit les premiers jours sur le bateau.
Au mouillage en baie du Marin
Ce n'est pas la meilleure idée car les relations se tendent après une première expertise calamiteuse : le bateau est déclaré non navigable et la vente est suspendue. Nous débarquons tels des vagabonds, sans le moindre hébergement à terre. En cette haute saison la tâche est difficile, mais nous arrivons à trouver dans la journée un véhicule de location et un logement rudimentaire sur la commune du Diamant, face au célèbre rocher.
Notre nouveau palace
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| Le Diamant |
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| Le rocher du Diamant |
Après d'âpres négociations, un accord est trouvé et la transaction est sauvée de justesse. Le bateau est mis à terre sur le chantier de Carenantilles, les travaux vont pouvoir commencer.
Début de sablage des œuvres vives
Pendant que les corps de métier se succèdent sur le chantier, nous faisons un peu de tourisme d'une côte à l'autre.
La côte atlantique
Le Robert
Sur la côte nord
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| La Trinité |
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| Le mémorial de l'Anse Caffard |
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| Les Trois-Îlets |
L'Anse Mitan
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| Le Bakoua |
La Marina Pointe du Bout
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| Sainte Luce |
Dernière réunion de chantier au bateau avant le prochain séjour en Martinique.
En supplément d'âme, le bateau a son nouveau nom, un hommage appuyé aux charmes de l'île : Shrubb, promesse de navigations enivrantes !
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