14 mai 2009

Tenue de printemps sur la Côte d'Azur

Fini cet hiver froid et pluvieux. Teles a sa nouvelle garde-robe : le code zéro et le spi asymétrique, bienvenus dans le très petit temps qui s'installe avec la douceur d'avril.











Pour une fois nous mettons cap au nord-est : la baie des Anges, Nice et Villefranche sur mer.
 


Cagnes sur Mer

L'aéroport de Nice


Ça n'étonnera personne : on se fait jeter du port d'Antibes. Le 1er mai, les 80 places visiteurs annoncées sont soi-disant complètes…

Mais la VHF a des oreilles ! Et qui nous contacte spontanément ? La Marina Baie des Anges toute proche.

Villeneuve-Loubet : la Marina Baie des Anges



Hem… comme mouillage sauvage en pleine nature, les voileux purs et durs vont hurler !

 
 
Mais l'accueil est chaleureux, on nous guide et on nous aide avec le sourire : finalement une escale technique très sympa, on reviendra !

Le lendemain, poussé par un force 2 nonchalant, Teles parade devant Nice et rejoint la rade de Villefranche. C'est l'occasion de hisser l'asymétrique qui a bien du mal a prendre le vent, mais nous tire quand même.
 
 

Nice : la Promenade des Anglais





Le Vieux Nice




Le port de Nice

Entrée de la rade de Villefranche sur mer : le cap Ferrat

La rade est victime de son succès : les immeubles flottants viennent souvent boucher l'horizon...


  

Malgré tout c'est un beau mouillage, complètement saturé en été.
 
Villefranche sur Mer : la citadelle et le port de La Darse

Entre les baies de Villefranche et de Beaulieu sur Mer, une petite montée sur le Cap Ferrat en visitant la villa Ephrussi de Rothschild : c'est kitsch en diable, mais quelle vue !


Villa Ephrussi de Rothschild







Versailles sur Méditerranée...








 






















Qui ne rêverait d'un palais intime avec son port au pied ?

Terrasse avec vue


Beaulieu sur mer au pied des falaises


Devant Saint Jean - Cap Ferrat.
 
Vers Monaco et l'Italie au loin.

Cette côte est devenue le rendez-vous des têtes couronnées et des fortunes du grand monde dès que le train et l'automobile en ont permis l'accès au début du XXème siècle. Quand arrive l'été, c'est envahi et infréquentable, y compris sur l'eau.
En mi-saison c'est enchanteur : trop de constructions, certes, mais l'ambiance est douce et les paysages gardent leur grandeur.
Pour la navigation, les ports et mouillages sont agréables en cette intersaison, mais le relief protège beaucoup du vent : le mistral est hors de portée ; à part quelques dépressions dans le golfe de Gênes amenant du flux d'est, les vents sont plutôt modérés.


 

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